« On n’a pas transmis un document. Nous étions clairs là-dessus, dès le début, que le gouvernement guinéen n’agit pas sous des contraintes ou sous le dictat de qui que ce soit ››
Ce sont des propos tenus par le ministre porte parole du gouvernement de la transition chez nos confrères de FIM FM dans l’émission ‹‹ Mirador›› ce lundi
Furieux, Ousmane Gaoual Diallo denonce les dysfonctionnements de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest.
‹‹ Ce qu’il faut savoir, la Guinée en tant que membre fondateur de la CEDEAO n’a jamais remis en cause sa volonté de continuer à siéger dans cette organisation sous-régionale. Maintenant chacun doit accepter de jouer son rôle et je pense que la CEDEAO depuis un certain temps s’est détourné de l’objectif d’être une institution au service des populations et de plus en plus elle apparaît aux yeux de l’opinion publique ouest-africaine comme une organisation au service de quelques chefs d’État et cela ne marchera pas. La Guinée prendra les décisions lorsque le moment viendra, pour assumer aussi bien son indépendance et sa volonté de renforcer la coopération dans le respect mutuel des uns et des autres, c’est très important. Ça ne fait peur à personne, un État ne doit pas agir sous le coup de la peur » martèle-t-il.
À quelques heures,l’ultimatum va expirer. l »opinion publique attent de voir la sanction qui va tomber sur la Guinée
Ce sont des propos tenus par le ministre porte parole du gouvernement de la transition chez nos confrères de FIM FM dans l’émission ‹‹ Mirador›› ce lundi
Furieux, Ousmane Gaoual Diallo denonce les dysfonctionnements de la Communauté Economique des Etats de l’Afrique de l’Ouest.
‹‹ Ce qu’il faut savoir, la Guinée en tant que membre fondateur de la CEDEAO n’a jamais remis en cause sa volonté de continuer à siéger dans cette organisation sous-régionale. Maintenant chacun doit accepter de jouer son rôle et je pense que la CEDEAO depuis un certain temps s’est détourné de l’objectif d’être une institution au service des populations et de plus en plus elle apparaît aux yeux de l’opinion publique ouest-africaine comme une organisation au service de quelques chefs d’État et cela ne marchera pas. La Guinée prendra les décisions lorsque le moment viendra, pour assumer aussi bien son indépendance et sa volonté de renforcer la coopération dans le respect mutuel des uns et des autres, c’est très important. Ça ne fait peur à personne, un État ne doit pas agir sous le coup de la peur » martèle-t-il.
À quelques heures,l’ultimatum va expirer. l »opinion publique attent de voir la sanction qui va tomber sur la Guinée
Par Djibril Timbo Barry pour couleurguinee.com