La société CRBC de chine avait en charge la mise en état de la nationale Kindia Mamou pour une durée de cinq ans. Les travaux ont été lancés en 2019 sous le régime du président déchu Alpha Condé. Même après la chute de cet dernier, les nouvelles autorités n’ont pas retiré le contrat avec cette société. Choses qui avaient plu aux ouvriers de la société car ils avaient signé un contrat de cinq ans. Par l’entremise d’une autre société intermédiaire appelée APROGUI.
Le contrat étant terminé, les travailleurs eux ne sont toujours pas en possession de leurs règlements.
Les chinois disent qu’ils ont payé tous les règlements à l’entreprise sous-traitante qui refuse, selon ces ouvriers de régler les ayants droits. Chemin faisant cette même entreprise a obtenu un nouveau contrat de deux ans et les travailleurs refusent de travailler tant qu’ils ne reçoivent pas leurs règlements.
C’est pourquoi ils ont investi ce mercredi les locaux de la sous préfecture de Linsan pour exiger une solution à leur problème. Selon leur porte parole Amadou Barry, tout s’est passé à l’absence du sous-préfet qui était en déplacement à Kindia .
De Linsan, Ibrahima Kalil Condé pour couleurguinee.com