Par Aboubacar Camara
Lisez ici la réflexion de Aboubacar Camara, le président de l’Urtergui sur l’hommage que la presse nationale a rendu à El Hadj Diallo Souleymane
AH OUI, L’EXEMPLE, LE BON A ÉTÉ DONNÉ PAR LA PRESSE À TRAVERS CERTAINES DE SES ÉLITES ÉCLAIRÉES. UN HOMMAGE ANTHUNE D’UNE FIGURE EMBLÉMATIQUE DE LA PRESSE GUINÉENNE
L’ADHÉSION À L’IDÉE A ÉTÉ RAPIDE ET GLOBALE DANS LE MONDE DES MÉDIAS GUINÉENS. UN SYMBOLE FORT SANS QUE PERSONNE NE SOIT CAPILLOTRACTÉ…
Un journaliste né, qui peut et qui a tous les mérites d’être présenté aux millions de lecteurs dans le monde à travers ses journaux (Lynx, Lance). Diallo Souleymane est un journaliste hors norme dont l’amour du métier de journaliste est unanimement reconnu. Un journalisme dont opiniâtreté de l’exerçant à être collé de façon assermenté à la vérité et à la réalité apporte souvent des colères injustifiées et la perte d’amitiés soit dit en passant.
Célébrer une telle figure et j’en suis sûr que beaucoup d’autres suivront n’est qu’un acte de loyauté à un métier qui ne nourrit pas son homme comme on le dit où la précarité est la norme, se décider d’y rester pour toute sa carrière est un acte de loyauté sans précédent. Mieux, c’est un acte hautement symbolique et une définition euclidienne du mérité progressif.
Cet hommage est à la fois anthume à travers donc Diallo Souleymane, qui symbolise tous ces hommes qui, nuit et jour se battent pour la Liberté de la presse et qui y consacrent toute leur existence. Également, un hommage posthume à l’endroit de toutes ces personnes qui ont trépassé et dont le combat a essentiellement été la défense de la liberté de presse.
Qui de mieux placé que cette mémoire vivante Diallo Souleymane de la presse depuis avant son avènement jusqu’aujourd’hui et dont on aura la chance de voir la chaleur et l’émotion qui va avec lorsque ses pairs lui témoigneront leur reconnaissance pour les nombreux sacrifices qu’il a consentis dans le métier ?
Merci aux initiateurs, à Sanou kerfalla cisse qui a cru devoir rendre hommage à son maître et unique patron.
L’objectif de la presse écrite dans le monde à travers les périodiques était d’informer et de défendre les publics de façon régulière. Diallo Souleymane l’a fait et réussit